Paradis Perdu

La deuxième grande nouvelle du mois: 6 de mes photos ont rejoint une galerie que j’aime beaucoup : la galerie Photo-Originale. 
Vous pouvez les retrouver sur internet à http://www.photo-originale.com/ ou les voir en personne à Paris 24 rue Molière dans le 1erarrondissement (à proximité de la Comédie Française). 
Je suis très fière d’être une des artistes de cette galerie qui vend les photos à prix abordable considérant que l’art doit être à la portée de tous.
Dans le cadre de  ma série « Paradis Perdu », les photos doivent exprimer le souvenir d’un paradis, la nostalgie de l’avoir quitté. Nous avons été arrachés à un moment de bonheur intense. Nous repensons avec mélancolie à ces doux instants qui s’éloignent. Ils s’effacent doucement de notre mémoire malgré nos efforts pour les préserver comme un trésor. Etait-ce un rêve ou la réalité ? La confusion s’installe.
Mais sans plus attendre voici les photos stars du jour : 

Les photographies sont vendues exclusivement par le biais de la galerie.

Billet Concordien


Il a neigé et donc vous l’aurez deviné je suis partie à la chasse aux photos. J’ai décidé de varier les plaisir. En sus d’aller au jardin du Luxembourg, je me suis aussi rendue sur la place de la concorde. 
Le lieu était d’un calme qu’on lui connait rarement. J’ai aimé m’y attarder et guetter les silhouettes et les parapluies. C’était comme un ballet sur fond blanc, tout en douceur et élégance. 
Voici quelques photos de ce moment suspendu. 
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La Tristesse du décrochage


Tout d’abord je m’excuse de mes dernières absences. Le temps passe sans que je ne m’en rende compte ….
Et puis, j’ai quelques bonnes nouvelles à vous annoncer (mais je vais les distiller dans le temps – je ne vais pas tout vous dévoiler d’un coup tout de même). 
La première d’entre elle : j’ai été sélectionnée pour participer au Festival Photo des Femmes d’Alfortville. J’ai été très fière d’avoir quatre photos exposées dans le cadre de cet évènement. 
Mais voilà, le temps du décrochage est venu. Je suis allée les reprendre hier. Les cimaises étaient vidées, les cadres démontés. C’est une histoire qui se termine. Ces photos ont vécues pendant une semaine sous les feux de la rampe et retombent brusquement dans l’anonymat. Et que faire de ces œuvres que j’aime tant mais que les murs de mon appartement ne peuvent accueillir pour cause de saturation. Elles ont été comme arrachées à une vie qui était faite pour elle. 
C’est la tristesse du décrochage. 
Voici les photos démoralisées …