Mercredi dernier, j’ai pris mon courage à deux mains et je me suis levée pour prendre des photos de la Tour Eiffel au lever du jour. Mais déception, le soleil était absent. J’ai était accueillie par un temps mou, sans âme et sans saveur.
Le ciel était blanc sans qu’il soit possible de distinguer les nuages. Ces derniers étaient camouflés, se confondant avec la pollution.
C’était comme attendre une couleur au milieu d’une vue en gris. Pas de rose, de bleuté ou de jaune, que du blanc et du gris et ses différentes nuances.
C’était comme voir la vie en terne. Quel dommage pour une photographe…
Il s’agissait d’une journée sans couleur …