Immersion en quartier japonais


Paris recèle d’une telle richesse culturelle. J’ai récemment appris que la capitale avait son quartier japonais près de l’opéra. Je me devais d’aller m’y promener. J’y ai découvert beaucoup de restaurants, quelques épiceries et librairies. 
J’ai souvent de grandes difficultés à prendre des personnes en photo. J’ai tenté, lors de cette sortie, de dépasser ces craintes. Les gens étaient très gentils et se faisaient photographié avec facilité et gentillesse.
En tout cas quel bonheur : Ou comment voyager tout en restant chez soi !
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Quelques gouttes de graphisme


Je me suis surprise récemment, après une sortie photo, à trouver parmi les clichés pris plusieurs plutôt graphiques. Je prends beaucoup de photos de rue avec des personnes. Je recherche généralement une atmosphère, de la poésie. Cependant je suis aussi attirée par les formes, les lignes ainsi que me l’on rappelé ces photos. Elles sont simples mais j’ai eu un grand plaisir à les prendre.
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La nuit reprend ses droits



Les lumières de Noel se sont éteintes. Les sapins jonchent les rues, abandonnés. Les boules et guirlandes sont rangées. Les travées des boutiques sont désertées et les vitrines des grands magasins sont voilées. Les enfants ne peuvent plus les scruter et les ont désertées. 
La pénombre a repris ses droits. La nuit s’affirme maitresse de nos soirées. Il n’est pas la peine de lutter. Toute bataille est inutile face au Noir qui a pris ses quartiers d’hiver et ne veut pas déménager. 

Un peu de classicisme


A Cabourg je n’ai pas fait que des expérimentations. J’ai fait aussi des paysages tout à fait classiques. Comment résister devant la beauté des lieux et le temps changeant. En 24h, j’ai pu observer du grand soleil, de la bruine, une tempête et de la grêle (pas forcément dans cet ordre) ! 
Mon seul regret : l’impossibilité de rendre compte en photo de la somptuosité des lieux et de la lumière. Je crois que malgré les nombreux essais la photo ne remplacera jamais la vision d’un paysage. En attendant on peut toujours essayer de faire au mieux.
 
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Sens dessus dessous


Ainsi que vous l’avez peut être remarqué. Je photographie un grand nombre de reflets … Je n’ai encore pas manqué de le faire dans le bassin du palais de Tokyo… 
Une sensation d’étrange alors que tout semble normal ? Une forme qui se trouble, une perspective qui change.  Ne vous inquiétez pas c’est juste un petit jeu de sens dessus dessous. 
Les reflets sont retournés, ils prennent la place de la réalité. 
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Essais au bord de mer


Les bords de mer sont toujours fascinants. Je ne résiste jamais à prendre des photos pour le plus grands désagrément des personnes qui m’accompagnent. Aussi quand j’ai eu l’occasion d’y aller toute seule je n’ai pas résisté. Mon appareil dans sous un bras et mon trépied sous un autre, je suis partie. Je m’en suis donnée à cœur joie devant un littoral changeant dont je découvre une nouvelle facette à chaque fois. 
J’ai eu tout mon temps pour expérimenter et j’ai fait des essais avec des accessoires étranges. Voici le résultat avec l’un d’eux …

Musée en noir et blanc


Le musée d’art moderne de la ville de paris est un lieu plein de vie et coloré. Pourtant j’ai choisi de le photographier en noir et blanc. Je me suis plus attardée sur les scènes et la simplicité. 
Voici quelques extraits de ce que j’y ai fait. 
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PS1 : N’hésitez pas à voter pour ma photo sur le site de mayoz à
PS2 : une de mes photos illustre le site de Ilford pendant le prochain mois. Vous pouvez la retrouver à http://www.ilford.com/en/about-us/

La fumée


Les monstres de la nuit crachent une fumée épaisse. Elle envahit peu à peu l’atmosphère. Il fait sombre. Il fait trouble. Et la rue se transforme en terrain de jeu pour les prédateurs. 

Il avance silencieusement sous une lune voilée. On ne le distingue pas, caché par un rideau blanc qui ne dévoile que sa silhouette menaçante. On le sent cependant, approcher lentement, comme on sent le danger.

On se tient immobile. Peut être ne nous as t il pas vu. Il s’arrête à quelques pas de nous. On ne peut que retenir notre respiration. Il risquerait d’entendre notre souffle dans le silence froid de l’hiver. 
Mais il ne semble pas percevoir notre peur et reprend son chemin comme si de rien n’était, comme si nos craintes étaient injustifiée fondée sur une fumée innocente qui a joué un tour à nos sens. 
N’oubliez pas de cliquer sur les photos pour les voir en grand!